Lors des débats au Sénat concernant les allégements fiscaux sur les intérêts des prêts immobiliers (le 26 juillet) :
un sénateur propose "de réduire [son] champ d’application aux seuls emprunts contractés après l’entrée en vigueur du projet de loi, afin de réduire le coût pour le budget de l’État."
le rapporteur répond : "autant j’estime que, sur le plan budgétaire, il a raison, autant je pense que sur le plan économique, il a raison, mais, sur le plan politique, son amendement ne me paraît pas conforme (...)